Voici quelques témoignages de ce qui se passe à l’ÉVA

 

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FRANCIS LABELLE
UNE VIE TRANSFORMÉE
31 OCTOBRE 2024

Bonjour, je souhaitais partager mon témoignage de vie avec vous, afin de vous montrer comment Dieu peut prendre la vie la plus brisée et y apporter la restauration. J’espère que vous serez encouragés par ce témoignage.

Avant de rencontrer vraiment Jésus, j’étais tellement à bout d’être malheureux et fatigué, vraiment fatigué. C’était comme si ma vie était toujours à recommencer sans cesse. Voici quelques brides de mon passé :

Je suis né à Bellefeuille et j’y suis demeuré jusqu’à l’âge de 15 ans. J’ai eu une enfance presque parfaite jusqu’à l’âge de 7 ans. Nous restions à côté de mes grands-parents et nous avions tout ce dont nous avions besoin : plusieurs terrains, des poules, une vache, un lac pour faire de la pisciculture, un grand jardin, etc. Nous ne manquions de rien, même pas de sirop d’érable! Nous allions aussi à l’église et j’avais même reçu Jésus dans mon cœur.

Quand mes grands-parents sont déménagés, nous avons arrêté d’aller à l’église et l’apocalypse a commencé : maladie, chicane, violence, drogue, menaces, vols… J’ai commencé à écouter du rap, je visionnais de la pornographie de plus en plus violente. J’ai commencé à peine à 7 ans à boire de l’alcool, j’avais même à cet âge des désirs sexuels pervertis. De 7 ans à 11 ans, c’était l’enfer. J’étais très malade. J‘avais vraiment de graves attaques spirituelles démoniaques sur moi, beaucoup d’anxiété, je vomissais, j’avais la diarrhée, je faisais des crises de panique, j’avais de l’hyperventilation, des crises de colère et j’en passe. J’avais, en plus de cela, toutes sortes de troubles : trouble d’adaptation et d’apprentissage, trouble du langage, dyslexie et trouble de l’attention avec hyperactivité.

Un soir, vers mes 9 ou 10 ans, alors que j’étais dans mon lit en grande fièvre, j’ai entendu mes parents discuter au pied de ma porte de chambre fermée. Ma mère voulait m’amener à l’hôpital le plus rapidement possible et c’est à ce moment que j’ai entendu mon père dire à ma mère de me laisser aller, car il disait que j’étais malheureux. Autrement dit, il décidait de me laisser mourir. Quand j’ai entendu ces paroles, mon cœur s’est déchiré. Je suis alors devenu rebelle. Les paroles de mon père m’ont fait devenir un enfant vraiment obstiné et très dur à éduquer. Je suis devenu dysfonctionnel sur à peu près tout. J’ai commencé à consommer du cannabis et à fumer de la cigarette tous les jours alors que j’avais à peine 11 ans. J’ai commencé vraiment jeune à consommer, car j’avais compris que, lorsque je consommais, je me sentais vraiment mieux. En fait, sans cela, je voulais me suicider.

Je cachais tout à mes parents et je leur mentais. Ils faisaient tout leur possible pour m’aider sans succès. Je devenais de plus en plus fou. On m’enfermait et m’enlevait tout ce que j’aimais pour me punir. Je n’avais plus rien. J’étais comme dans un centre de recrutement pour jeune délinquant. Il n’y avait rien à faire, je consommais de plus en plus. J’étais très violent dans mes paroles et gestes et j’expérimentais de plus en plus des actes sexuels dépravés.

À mes 15 ans, notre famille a déménagé à notre nouvelle résidence à Saint-Antoine qui est à St-Jérôme. C’est une des pires villes au Canada en termes de problèmes de consommation, de prostitution, de violence et de vol. J’ai couté très cher à mes parents pour toutes les conneries que j’ai faites dans mon adolescence. Ça se compte en milliers de dollars.

Quand mon grand-père du côté de ma mère est mort, j’ai été placé dans un centre mixte dans le coin de Lafontaine à St-Jérôme. J’avais signé une mesure volontaire, car je venais de passer par une mesure hors cour pour éviter un dossier criminel. C’est à ce moment que j’ai commencé à m’entrainer 4 heures par jour. Je suis devenu une vraie brute. Il n’y avait plus personne qui voulait me confronter et j’avais des idées très sombres en tête.

Je suis passé ensuite par différentes institutions telles que la ressource l’apprentissage sur Saint-Raphaël, à Huberdeau au Tournant qui est la prison pour jeunes, au sécuritaire aux adultes en psychiatrie à l’Hôtel-Dieu de St-Jérôme et j’en passe avant de reprendre une vie désorganisée et chaotique. J’étais entouré de criminels. J’ai tenté plusieurs thérapies, dont une que j’ai suivie au Centre Nouveau Regard qui a changé ma vie. J’ai laissé sortir ma colère et j’ai appris comment me sortir du cercle vicieux de ma vie remplie de tourments. Ce programme était totalement complet. Je le recommande à toute personne qui a besoin de recommencer sa vie, c’est le bon endroit. Il y a beaucoup d’amour à recevoir. J’en remercie tout le centre. Je mangeais bien, je ne consommais plus, j’allais à l’église, je priais, je fréquentais des gens moins intenses, j’étais plus équilibré et je dormais bien. Malgré tout, j’avais toujours le cœur vide, il me manquait encore quelque chose. C’était Dieu.

Un jour, j’ai rencontré un couple d’amis chrétien qui m’a influencé pour aller faire un programme à Lotbinière qui se nommait Teen Challenge (Défi Jeunesse). Il se trouvait que l’un de leurs amis était en lien avec le centre directement. J’ai rencontré Daniel, un intervenant, et j’ai décidé d’entrer à Défi Jeunesse. Quand je suis arrivé au centre, je grognais comme un ours, je soupirais et respirais très fort. J’étais constamment sous l’effet du mal. J’étais clairement tourmenté par des esprits mauvais sans que je m’en rende compte. J’étais vraiment démantelé. Malgré tout, j’ai gardé une attitude exemplaire. J’ai participé à tout ce que le centre exigeait : j’ai lu la Bible comme premier livre officiel de lecture et lu plus de 10 Best Seller. J’ai fait plus de 300 pages de travaux style relation d’aide. J’ai prié et donné 100 % de mes efforts pour être libéré de tout mon passé.

Après 4 mois de travail sur moi, à la suite d’un évènement chrétien, des pasteurs ont prié et ont guéri ma jambe droite puisqu’elle était plus courte avant. Après cela, je leur ai demandé de prier pour me libérer des démons. Ils ont prié plus d’une heure sans arrêt à quatre. Après cela, je me suis senti vraiment fatigué et très confus. Arrivé au Centre, je suis tombé KO. J’ai vomi ma vie et je me suis réveillé nu dans mes excréments. Depuis ce jour, je suis totalement délivré des esprits mauvais. Cependant, j’ai reçu encore longtemps de l’oppression de l’ennemi. À force de persévérer dans la foi, avec les règles du centre, avec mon implication, des travaux, de la prière, de l’abstinence et au renoncement à moi-même, je suis parvenu à la guérison de mon âme. Je commence à être heureux et stable. J’aime Jésus, je veux faire sa volonté et aller loin pour cette vie en Christ. J’ai retrouvé l’équilibre la joie, la paix, la pureté et la sérénité. Je ne suis plus violent, je suis calme et droit, j’aime les sentiers de la justice, car mon âme se réjouit. Merci Dieu de m’avoir soutenu devant toute la misère que j’ai subie sur la terre!

Ah oui, Noël il y a trois ans, j’ai demandé pardon à mon père et j’ai reconnu mes fautes envers lui. Il a accepté mon pardon et ma mère aussi. Il m’a donné un saint baisé et m’a pris dans ses bras en pleurant. On a chanté des louanges et prié ensemble. Aussi, depuis un petit moment, mon père a complètement arrêté de boire en suivant mon exemple.

Depuis mon arrivée au centre, Dieu m’a transformé très fortement. Je n’ai jamais eu de toute ma vie une relation aussi forte avec mes parents et ma famille. Gloire à Dieu, notre père! Mon père est très fier de moi. Il a même dit à mes intervenants que je suis doux comme un agneau et doux comme le miel. Il approuve. Jamais de ma vie j’ai aussi bien été. Depuis mon arrivé à Défi Jeunesse, je n’ai pas arrêté d’avoir des moments d’excellente qualité avec mes parents. J’avais depuis un long moment prié pour ma mère et mon père. Mes prières ont porté beaucoup de fruits.

Et, pour finir, ce que mon père avait discuté avec ma mère au pied de ma porte de chambre quand j’étais malade était totalement faux. Mes parents, et mon père en particulier, ont toujours pris les mesures nécessaires pour veiller à ma santé. J’ai eu une hallucination auditive que l’ennemi a réussi à me faire croire et qui a déclenché le pire. Voilà comment l’ennemi fonctionne. C’est pendant notre jeunesse qu’il agit pour créer des forteresses dans notre conscience d’innocence. Maintenant, je suis transformé, heureux, calme, sûr de moi et en paix. J’aime Jésus. Je m’aime et j’aime les gens. Je fais les choses justes. Je suis droit, je ne triche pas, je suis honnête.

J’ai été cherché mon AENS (attestation d’études de niveau secondaire). Présentement, je travaille pour Moissonneurs Solidaires et Défi Jeunesse. J’aide les étudiants et je supporte les gars, je cuisine, je conduis de la machinerie, je continue de participer à certaines activités du programme, je fais du gros nettoyage. De plus, j’ai fini de payer toutes mes dettes du gouvernement. Grâce à ma vie et à mon cheminement intense, je vais pouvoir totalement comprendre les gens dans leur misère puisque je suis déjà passé par là. J’ai vraiment à cœur de porter aide aux personnes dans la misère et qui pensent que rien n’est possible alors que tout est possible. Mon cœur explose d’amour. Présentement, tout ce qui est arrivé dans ma vie de négatif est inversé et c’est tout le contraire qui m’arrive aujourd’hui, du positif à la pelletée! Je relève du miracle. J’ai tellement évolué et changé positivement. Je remercie Dieu de son œuvre, merci Seigneur Jésus-Christ. Et ce n’est que le début! Merci encore… Merci Jésus. Cela est mon partage, merci mille fois. Amen xxx…

PS : Si tu as besoin d’être écouté, si tu as besoin d’un appui, si tu es malheureux et que plus rien ne fonctionne dans ta vie, j’ai la solution pour y remédier : c’est Jésus-Christ notre sauveur.

De plus, si tu es parent et que ton enfant se trouve en difficulté, ce qui est important est de savoir ce qui se passe dans son cœur et de persévérer dans la prière.

Francis Labelle

 

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FRANÇOIS BLOUIN
EMPLOI, HUMILITÉ ET OBÉISSANCE
20 AOUT 2023

Il y a quelques années, j’étais un homme d’affaire « important » et prospère. Un jour, j’ai subi une fraude. Cette fraude a entrainé la perte de tous mes avoirs, emportant avec elle l’identité que je m’étais forgée de toutes pièces par mon ego et mon orgueil. Toutes les choses qui me donnaient une personnalité forte, des qualités de fonceur, l’estime de moi-même et même par la suite mes capacités de fonctionner en société, tout était parti en fumée. C’était au point que j’étais incapable de retourner sur le marché du travail.

Je sais maintenant que tout contribue au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés conformément à son plan (Romains 8.28), mais à ce moment-là, je ne le savais pas et je trouvais ça vraiment difficile.

Rencontre du Seigneur

J’ai passé plus de cinq ans à prier Dieu – sans vraiment le connaitre – à lui écrire des lettres (plus de 6 000 pages), lui demandant de me redonner ma position sociale, ma force, mes finances, mon travail, etc. Puis un jour, il s’est révélé à moi de façon puissante.

« Humiliez-vous donc sous la puissante main de Dieu, afin qu’il vous élève au temps convenable. » (1 Pierre 5.6)

Après avoir rencontré Dieu, j’ai lu ce passage en 1 Pierre 5.6 et cela m’a beaucoup interpellé. Non longtemps après, une amie m’a contacté pour me dire que quelqu’un cherchait un employé pour faire un travail que je connaissais très bien, mais qui n’était pas à la hauteur de mes attentes et de mes capacités – et encore moins de mon ego. C’est exactement la raison pour laquelle j’ai accepté ce travail! C’était pour moi une façon de m’humilier devant le Seigneur et de lui démontrer que je lui faisais confiance. Ainsi, j’ai appris à faire un travail humble et à avoir un patron autre que moi-même.

Ce travail m’a emmené à un autre travail (par référence) et je me suis surpris à aimer faire les choses selon la volonté de Dieu. Il me plaçait exactement où je devais être pour mon apprentissage, me permettant de servir et de développer de nouvelles compétences. Ce que je ne savais pas, c’est que ces compétences allaient être cruciales pour la suite des choses.

Un jour, j’ai réalisé que je n’étais plus bien dans ce travail; je plafonnais et j’étais rendu malheureux. Je voulais donc absolument quitter cet emploi. Mais comme c’était Dieu qui m’y avait conduit, qui étais-je pour quitter? Je priais, demandant sans cesse un signe, une parole, quelque chose qui me dirait de partir… J’avais peur que cette décision soit le fruit de ma propre volonté. Je ne savais plus comment distinguer la volonté de Dieu de la mienne… J’étais dans une impasse. Puis, pendant mon questionnement, j’ai accroché une échelle de 20 pieds en marchant et pendant que je marchais, l’échelle est tombée sur moi et je l’ai reçue directement sur la tête. Je suis tombé immédiatement sur les genoux et il m’est venu à l’esprit cette phrase : « Si je reste ici, je vais mourir ». J’aurais dû être blessé sévèrement suite à cet incident, mais miraculeusement, je n’ai rien eu du tout. Après cinq minutes agenouillé, je me suis relevé et j’ai décidé d’aller donner ma démission. Mais le doute ou la peur que ce soit ma volonté ont refait surface, et là j’ai demandé une réponse claire et nette à savoir ce que je devais faire.

Immédiatement, j’ai reçu un message venant d’une application chrétienne sur mon téléphone. Elle disait : 1- Soyez reconnaissant au Seigneur. 2- Suivez la voie du Seigneur. 3- Le changement est imminent. 4- Agissez aujourd’hui. Wow! J’avais ma réponse. Par contre, je savais qu’en donnant ma démission je n’aurais pas droit aux prestations d’assurance-emploi. Je me suis rappelé que Dieu pourvoit toujours à nos besoins, alors j’ai pris courage en demandant à l’Esprit Saint de me guider et je suis allé rencontrer mon patron. En arrivant à son bureau, il m’a regardé d’un air mal à l’aise en me disant de m’asseoir, pour ensuite m’informer que mon poste ne faisait plus partie de la vision et de la direction de l’entreprise; qu’il n’avait plus besoin de mes services; qu’il était désolé et qu’il me donnait trois semaines de salaire et toutes les références positives dont j’avais besoin. Du coup, j’avais droit aux prestations d’assurance-emploi!!!

Après quelques mois d’assurance-emploi, je me demandais comment m’orienter vers une nouvelle carrière. Un suivi avec un organisme (APE) m’a été présenté et c’était exactement et directement une réponse divine : un accompagnement complet dans une réorientation de carrière. Le Seigneur m’a de nouveau mis dans le cœur de m’humilier sous sa puissante main afin qu’il m’élève au moment choisi et il a rajouté : « Écoute complètement ce qu’ils te diront de faire et surtout, suis leur vitesse sans essayer d’aller plus vite ». Oui, je suis plutôt du genre à tirer sur la carotte pour qu’elle pousse plus vite! J’ai complètement obéi à toutes les consignes, incluant faire tous les exercices ou formations qui me semblaient inutiles (car je croyais tout savoir). En me dépêchant et en ne faisant pas tout, cela m’aurait pris environ un mois à compléter la formation, mais en suivant la vitesse du Seigneur, ça a pris plus de trois mois.

Une fois ma seconde carrière claire et nette à l’esprit, j’ai reçu de l’aide pour faire un CV à jour. Le jour où j’ai terminé ma formation avec mon CV en main, j’ai vu quelque chose qui m’intéressait dans mon domaine. (Je n’avais jamais cherché avant d’avoir terminé ma formation). J’ai eu un entretien d’embauche avec une compagnie qui recherchait exactement ce que moi je recherchais aussi. Équipe, valeurs, tâches, salaire, horaire, avantages sociaux, avancement, plaisir et même plus, m’étaient offert. J’ai été engagé et j’ai maintenant un emploi fait sur mesure pour moi! Je suis particulièrement joyeux et en paix d’avoir suivi le plan de Dieu et sa vitesse, car cet emploi n’aurait pas été disponible ne serait-ce que deux jours plus tôt!

Merci Seigneur de m’avoir permis de me fier à ta parole et à tes promesses plutôt qu’à mes sentiments et mes émotions! Cela fait maintenant quatre mois que je suis à cet emploi et je suis dans la gratitude constante pour les grâces dont le Seigneur me comble.

Gloire à Dieu.

François Blouin

 

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NATHANIEL HOFFMANN
INTERVENTION DE L’ESPRIT SAINT
17 JUIN 2023

Le vendredi le 3 février 2023, j’ai reçu la lettre de nouvelles de l’EVA qui mentionnait qu’un certain évangéliste allait faire la prédication du dimanche. Pour être honnête avec vous, je ne savais pas du tout de qui il s’agissait.

Le soir même, j’étais en train d’écouter un film lorsque j’ai eu la conviction dans mon cœur que je devais jeter tous mes films gravés – une collection acquise illégalement à laquelle j’étais très attaché. J’en avais au moins 2 000. J’ai aussi eu la conviction que je devais jeter tous mes films d’horreur : au moins 500. Je me suis mis à pleurer et à me sentir mal. Je savais que c’était Dieu qui m’interpellait, mais j’étais tiraillé. Alors, j’ai dit au Seigneur que je voulais faire sa volonté et qu’à partir du samedi j’allais commencer à les jeter.

Le lendemain matin, je me suis mis à la tâche. Ce serait mentir de vous dire que cela a été facile. C’était tellement difficile et long que cela m’a pris six heures à jeter tous mes films gravés. L’ennemi n’aimait pas cela et il essayait de m’en dissuader par tous les moyens. Une première étape était franchie, mais il restait mes films d’horreur.

Le dimanche, le lever fut difficile et je n’avais aucune envie de me rendre au culte – tellement que je suis arrivé environ 10 minutes en retard. J’ai compris que c’était une attaque de l’ennemi, qui ne voulait pas que j’assiste à cette rencontre. Au début, je ne me sentais pas très bien, mais au fur et à mesure que les louanges se poursuivaient, je me sentais de mieux en mieux. Puis, l’évangéliste s’est mis à parler en anglais, qui est ma langue maternelle et c’est venu me toucher au plus profond de mon cœur. J’ai commencé à sentir de plus en plus la présence de l’Esprit Saint autour de nous et sur moi. Mes deux mains se sont mises à trembler. C’était incontrôlable et la première fois que je vivais cela. Puis, l’évangéliste nous a demandé d’avancer en avant. C’est là que j’ai vécu un moment inoubliable! J’étais en avant et je voyais des personnes tomber à terre dans un abandon total. J’étais émerveillé… Je me suis mis aussitôt à prier le Seigneur, lui demandant de me permettre de vivre cette expérience. L’évangéliste est passé près de moi, mais sans s’arrêter. Je me suis dit, « Qu’il en soit fait selon ta volonté, Seigneur; ce sera peut-être pour une autre fois, je l’accepte ». C’est alors que l’évangéliste est revenu vers moi et m’a touché. Aussitôt, je suis tombé. Wow! Quelle expérience… Je ne pourrais pas dire exactement à quel endroit j’étais, mais c’était de toute beauté, avec une lumière rayonnante inexplicable… Je me sentais dans le meilleur lit au monde, alors qu’en réalité j’étais couché sur le plancher froid du gymnase. (Mes proches pourraient vous dire que je déteste me coucher sur une surface dure. Il n’y a pas plus princesse que moi lorsqu’il s’agit de mon confort. Il me faut toujours un matelas douillet.) Mais revenons à ce moment merveilleux. J’étais dans le meilleur lit au monde et la température était parfaite. Pour être honnête, je serais resté là pour toujours. J’étais tellement bien. Quand je suis finalement revenu à moi, j’étais surpris de constater que j’étais couché sur le plancher inconfortable du gymnase et il faisait froid. Je n’étais pas bien du tout. Cependant, j’avais senti que quelque chose d’extraordinaire s’était passé et que cela allait changer ma vie à tout jamais.

En rentrant chez moi ce jour-là, la première chose que j’ai faite est de jeter tous mes films d’horreur. Autant cela avait été un combat la veille, autant ce fut facile après cette expérience que j’avais vécue, car j’étais rempli de l’Esprit Saint! En tout, j’ai jeté pour un minimum de 10 000 $ de films d’horreur. Dieu a vraiment été bon de me soutenir dans cette démarche. Et je ne le savais pas, mais il n’avait pas fini de m’étonner…

En effet, lors de cette même période, j’avais une dette de 24 000 $ difficile à rembourser. Je ne savais pas si je devais déclarer faillite et je me sentais dans une impasse. J’ai alors décidé de remettre mes finances entre les mains de Dieu. Je lui ai demandé de me montrer ce que je devais faire pour m’en sortir et lui ai dit que j’allais obéir à ses instructions – que j’allais me laisser guider par mon Père céleste. Peu de temps après, j’ai reçu un bon retour d’impôt suivi d’une rétroaction salariale, ce qui me permettait de réduire ma dette à 14 000 $. Puis, lors d’une soirée chez des amis très proches, Dieu m’a parlé : je me suis senti poussé à les informer de ma dette. Sans hésiter, ils m’ont dit que si ma mère et ma tante pouvaient me prêter 5 000 $, ils s’occuperaient de me prêter le reste. J’ai donc expliqué la situation à ma mère et ma tante, qui ont tout de suite accepté de m’aider. Dieu avait ouvert les portes – wow! En plus, alors que je devais au départ leur rembourser l’intégralité du montant, certains ont carrément décidé de me donner l’argent. Au final, au lieu de devoir 14 000 $, je n’ai plus que 6 000 $ à rembourser.

Avec du recul, je vois que Dieu m’a demandé de faire quelque chose qui m’a couté, mais qu’il a su me bénir en retour. Je lui suis tellement reconnaissant!

J’aimerais terminer en vous disant de ne pas hésiter à tout confier à notre Père céleste et à lui obéir, car la seule chose qu’il souhaite c’est de nous aider, parce qu’il nous aime d’un amour inconditionnel et éternel. À lui soit toute la gloire!

Nathaniel Hoffmann

 

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NANCY RATTÉ
GUÉRISON MIRACULEUSE
4 JUIN 2023

À l’automne 2022, j’ai failli perdre ma mère.

Elle s’était mise à avoir de la difficulté à respirer au point que mon père a dû appeler le 911. Après qu’ils l’eurent installée dans l’ambulance, les secouristes ont dit qu’ils l’avaient prise en charge juste à temps.

Dès qu’on a su ce qui se passait, ma sœur, mon mari et moi avons commencé à prier et à déclarer la vie sur elle. Plusieurs autres personnes ont prié aussi.

Une fois à l’hôpital, l’équipe médicale a vu qu’elle avait fait une crise cardiaque. Le cœur était maintenant très faible (39 sur 55) et ne faisait plus bien son travail. Elle avait également un problème d’eau sur les poumons que l’équipe n’arrivait pas à régler complètement malgré tous leurs efforts. Après quatre jours, comme elle avait encore beaucoup de difficulté à respirer et qu’elle avait des douleurs à la poitrine, elle a été transférée d’urgence à l’hôpital Laval de Québec afin d’être examinée et opérée pour déboucher ses vaisseaux sanguins.

Durant le voyage en ambulance, ma mère a crié à Dieu pour obtenir son secours et être guérie.

Finalement, après l’avoir examinée, les spécialistes de l’hôpital Laval ont dit que tout était beau – qu’il n’y avait rien de bouché. Le médecin qui l’avait examinée au départ a dit ne pas comprendre pourquoi il n’y avait rien de bouché et pas de trace de crise cardiaque, car les examens initiaux démontraient qu’elle en avait fait une. Il n’y avait plus non plus d’eau sur ses poumons. Le médecin étant perplexe, ma mère a dit, « Vous vous ne comprenez pas, mais moi oui : c’est Dieu qui a agi! »

Pour couronner le tout, la convalescence s’est faite beaucoup plus rapidement que prévu. En effet, deux mois plus tard, la force du cœur était déjà rendue à 52 sur 55 alors que le médecin avait estimé que cela pourrait prendre une bonne année pour remonter la pente.

Jusqu’à aujourd’hui, ma mère n’a plus eu d’eau sur les poumons et son cœur a continué de bien aller.

Cette guérison ne peut être expliquée que par un miracle de Dieu en réponse à nos prières!

Nancy Ratté

 

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TÉMOIGNAGE DE MARIE-PAUL N’GUESSAN
AFFIRMATION D’IDENTITÉ
22 MARS 2023

Le 11 octobre dernier, je devais subir une opération importante dans un hôpital de Québec. Une sœur en Christ m’a accompagnée pour l’intervention. Alors que nous étions dans le stationnement, elle m’a posé la question, « Qu’est-ce que tu as demandé à Papa? » – comme si elle venait de recevoir une révélation. Je lui ai alors fait un grand sourire et j’ai répondu que j’avais dit à Dieu que je voulais voir sa présence. « Ne reste pas là-bas! », m’a-t-elle répondu. Puis nous avons rigolé à ce sujet et nous sommes dirigées vers le bloc opératoire.

La chirurgie a finalement duré beaucoup plus longtemps que prévu. Plusieurs personnes ont prié pour moi durant l’opération et Dieu a vraiment protégé ma vie. Avant de me réveiller de l’intervention, j’étais dans un état de somnolence, un peu comme un état second. C’est là que soudainement, j’ai vu une grande lumière qui m’attirait. C’était absolument magnifique! Je suis entrée dans cette lumière et me suis vue comme une petite fille de cinq ans avec une belle robe saumon, deux couettes dans les cheveux et des chaussures de ballerine aux pieds. J’ai su que je n’étais pas seule lorsque la main de Papa m’a flatté la main droite. Je ne le voyais pas, mais je le sentais. Là dans ce moment, j’étais littéralement envahie de sa présence. C’était un sentiment absolument merveilleux, indescriptible! Papa et moi avons marché un peu ensemble. Quelques instants plus tard, j’ai entendu une voix familière qui me rappelait sur terre en m’appelant par mon nom. C’était l’amie qui m’avait accompagnée. J’ai alors ouvert les yeux et suis sortie de la vision.

Je n’oublierai jamais cette expérience exceptionnelle! En fait, c’est une expérience qui m’a transformée, car je dois dire qu’il y a eu d’énormes changements intérieurs en moi depuis ce temps. Concrètement, je suis plus que jamais assise dans mon identité de fille du tendre Père. De plus, j’ai toujours aimé parler à Dieu, mais maintenant je prends davantage le temps de l’écouter; je suis plus sensible à ce qu’il y a autour de moi et au monde spirituel et mon âme est constamment en louange.

Chers amis, sachez que notre père céleste a une présence extraordinaire, qu’il nous aime et qu’il n’y a rien de plus magnifique que son amour!

Marie-Paul N’Guessan

 

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NATHANIEL HOFFMANN
CONVERSION À CHRIST
26 FÉVRIER 2023

Je m’appelle Nathaniel Hoffmann et j’ai 34 ans. Je suis natif des États-Unis, plus précisément de Orange County en Californie. J’ai habité sept ans aux États-Unis. Ma mère était catholique et mon père était dans l’église satanique. Mon père me battait fréquemment et mes parents se chicanaient souvent, couteaux à la main. Bien malgré moi, j’ai connu les forces du mal auprès des mauvaises pratiques de mon père. Ma maison était hantée – les objets bougeaient tout seuls et j’ai vu des esprits mauvais. Je ressentais des présences démoniaques dans la maison. C’est ce qui nous a amenés ma mère et moi à quitter cet endroit pour aller habiter chez mes grands-parents à Thetford Mines.

À cette époque, j’étais catholique pratiquant. D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours cru en Dieu, mais j’étais un chrétien qu’on peut qualifier de tiède.

Quand j’avais environ 13 ans, j’ai été guéri de très fortes migraines hebdomadaires qui me faisaient vomir. Dans la vingtaine, j’ai vraiment senti la main de Dieu pour la réussite de mes tests physiques et psychométriques pour mon entrée au programme des techniques policières de même que pour mon entrée à l’École nationale de police du Québec.

De chrétien catholique religieux que j’étais, plus je vieillissais, plus je devenais un chrétien réfléchi. Ce que j’entends par réfléchi, c’est que je me posais de plus en plus de questions. Je me questionnais entre autres sur l’intérêt de prier les saints et Marie et de dire les chapelets. Bref, cela m’a permis de me rapprocher davantage de Jésus et de réaliser qu’il était beaucoup plus accessible que je le pensais.

C’est vraiment au mois de novembre 2021 que tout a changé pour moi : je suis né de nouveau (selon Jean 3.1-6). En résumé, je suis allé à une réunion de prière dans le renouveau charismatique. Au départ je ne voulais même pas y aller; j’y allais seulement pour mon épouse, mais en réalité c’est moi qui en avais le plus besoin. À la fin de la réunion, j’ai été puissamment convaincu d’être dans le péché. Je suis allé confesser mes péchés à un curé spécialisé dans le domaine de la confession. J’avais de grosses choses à me faire pardonner. Après cette longue confession, j’ai aussitôt été guéri de ma dépression. J’ai été guéri et délivré par l’Esprit Saint.

À partir de ce moment-là, après des années de concubinage, j’ai eu la conviction de me mettre en règle avec Dieu. J’ai aussitôt commencé le processus pour me marier, ce que j’ai fait le 24 septembre 2022. Après le mariage, mon épouse et moi nous étions dit qu’on voulait se trouver une Église et nous avons trouvé l’EVA en octobre 2022.

Désirant marcher dans les mêmes pas que Jésus, je me suis fait baptiser à l’EVA le 26 février 2023. Depuis, l’aventure continue! Je vous partagerai d’autres choses que Dieu a faites pour moi dans un prochain témoignage. Je veux terminer celui-ci en déclarant que Jésus est mon Dieu, mon roi, mon Seigneur, mon sauveur, mon guérisseur, mon refuge, mon pourvoyeur, ma force, mon défenseur, mon protecteur, ma paix et ma joie; il est tout pour moi!

Nathaniel Hoffmann

 

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TÉMOIGNAGE ANONYME
PROVISION DIVINE
24 JANVIER 2023

Mon mari et moi étions en train de travailler sur un projet qui devait nous couter quelques milliers de dollars. Ce matin-là, dans mon temps de prière, j’ai eu à cœur de demander à Dieu qu’il puisse nous envoyer sa provision pour ce projet.

Quelques heures plus tard, alors que je venais d’arriver au travail, je reçois un appel de mon mari qui me demande, « Chérie, as-tu demandé de l’argent à Dieu récemment ? ». Intriguée, je lui réponds que oui. Il me demande ensuite, « Quand lui as-tu demandé cela ? ». Encore plus intriguée, je lui réponds que c’était très tôt le matin même. Il valide alors, « As-tu demandé cela pour quelque chose en particulier ? ». Ce à quoi je réponds que c’était pour notre projet spécial. Ne pouvant plus retenir ma question, je lui demande, « Pourquoi toutes ces questions ?? ». Figurez-vous qu’il venait tout juste de recevoir un virement Interac qui couvrait carrément la moitié du projet!

J’étais estomaquée! Dieu avait répondu à ma prière en moins de quelques heures, et de façon magistrale!

Par la suite, j’ai su que la sœur qui nous avait fait le virement était en méditation ce matin-là dans sa Parole, en Luc 21, un passage où Jésus observait les gens qui venaient déposer leurs offrandes. Suite à sa lecture, elle avait demandé au Seigneur s’il désirait qu’elle fasse une offrande en particulier. Notre nom est venu à son esprit et elle a obéi.

Quel synchronisme de la part de notre Seigneur!

Bref, j’ignore qui a été le plus béni entre la sœur qui a donné et nous qui avons reçu, mais nous avons tous été vraiment touchés par la bonté de Dieu.

Une sœur de l’ÉVA

 

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TÉMOIGNAGE DE LUCIE MATTE
GUÉRISON – MASSE DISPARUE
3 JUILLET 2022

En octobre 2021, j’ai reçu un diagnostic de masse à l’urètre, examen qui avait été très douloureux et répété trois fois pour s’assurer du diagnostic. Pas d’erreur possible : il y avait bien une masse! J’avais des maux de ventre continuellement. Suite à cela, je devais passer une colposcopie en décembre à l’hôpital, examen plus poussé pour obtenir plus d’information sur la nature de la masse. Deux mois d’attente, mais j’étais dans la paix de Dieu et j’avais une force intérieure qui ne venait pas de moi. J’avais remis ma santé entre les mains de Christ. Étrangement, la douleur de l’examen m’inquiétait plus que le résultat. Je craignais que le médecin soit incapable de compléter la colposcopie. Le matin même de l’examen, j’ai entendu une voix me dire : « Il n’y aura pas de douleur et pas de masse ».  Puis, la douleur au ventre a complètement cessé. À l’examen, quelle a été ma surprise de constater que je n’avais ressenti aucune douleur, puis d’entendre la médecin dire qu’elle ne comprenait pas; qu’il n’y avait plus de masse. Elle a répété l’examen trois fois elle aussi. Pas d’erreur possible : la masse avait disparu! J’ai remercié Dieu pour son miracle. La semaine dernière, j’ai repassé une colposcopie, soit six mois après, et toujours pas de masse. Dieu m’a guérie d’un cancer potentiel – merci Père!!! Depuis, je suis dans un état constant de grâce et de reconnaissance.

Lucie Matte

 

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TÉMOIGNAGE DE STÉPHANIE DAUPHIN
VICTOIRE SUR L’OFFENSE
22 MARS 2021

Au début de la pandémie, j’ai demandé à Christine si l’Église avait organisé quelque chose pour supporter les personnes isolées de l’ÉVA. Christine m’a dit qu’elle recommandait davantage de communiquer individuellement avec des personnes que nous connaissions. Dieu m’a tout de suite mis à cœur de rejoindre une sœur que je connaissais peu. Ce qui est dôle, c’est qu’à chaque fois que je la contactais, c’est en fait elle qui me bénissait. Concrètement, un jour où je l’ai appelée, elle m’a demandé, « Stéphanie, as-tu écouté le message de pasteur André Jr sur l’offense? ». Je ne l’avais pas encore écouté, alors je m’y suis mise. Honnêtement, ce message a tout changé…

Je me suis rendu compte à quel point l’offense – le fait d’être vexée, susceptible – était présente dans ma vie et me contrôlait à mon insu et ce, surtout au niveau professionnel. C’est que depuis que j’ai intégré le marché de l’emploi, je suis victime de racisme au travail et puisque je suis intolérante aux injustices de toutes sortes, je ne laisse passer aucun acte désobligeant.

Le problème, c’est que je n’ai pas toujours la meilleure façon de m’affirmer. Ainsi, il y a un an, j’ai perdu un emploi parce que je me suis disputée avec une coordonnatrice qui m’avait offensée. Le pire, c’est qu’un an plus tard, jour pour jour, je me suis retrouvée pratiquement dans la même situation : j’ai eu un conflit avec une autre coordonnatrice et une collègue qui a utilisé le mot « N ». La gestionnaire a décidé de mettre fin à mon assignation.

Après avoir écouté le message de pasteur André Jr, je ne pouvais plus dormir. J’ai décidé d’aller voir une vidéo de l’auteur du livre « L’offense, l’arme cachée de Satan », John Bevere. Il y expliquait comment Dieu lui avait révélé qu’il devait non seulement pardonner à une personne qui l’avait offensé, mais qu’il devait aller la voir et lui remettre un cadeau. Eurk!

L’Esprit-Saint m’a tout de suite mis à cœur d’acheter son livre et de faire la même chose. La partie facile était d’acheter les cadeaux : 3 boites de chocolat de la meilleure chocolaterie de Québec. Puis, j’ai demandé à la gestionnaire une rencontre avec elle et la coordonnatrice pour « faire le point ». Cette rencontre a eu lieu la dernière semaine de mon assignation. J’ai débuté la rencontre en disant à la coordonnatrice que je m’excusais de l’avoir offensée. Les deux femmes étaient sous le choc. Je lui ai expliqué que je vivais du stress en cette saison de pandémie et que mon impatience n’avait pas lieu d’être. La coordonnatrice a indiqué qu’elle me sentait de plus en plus froide à son égard. Je m’en suis excusée et je leur ai remis leur chocolat. La coordonnatrice m’a demandé pourquoi je posais ce geste. Je lui ai répondu que je l’avais entendu dire qu’elle aimait le chocolat. Quelques jours plus tard elle m’a écrit pour me remercier et me dire que les chocolats étaient « décadents ».

J’ai fait la même chose avec la collègue qui avait utilisé le mot « N ». Je lui ai expliqué que lorsque je suis venue la voir et que je lui ai dit que son geste n’était pas « professionnel du tout » d’un ton froid, c’était parce que je me sentais blessée. Je lui ai dit que j’ai travaillé plusieurs années dans un organisme gouvernemental où je me faisais constamment insulter et où j’entendais des commentaires racistes à chaque semaine. J’ai ajouté que je n’avais plus de tolérance pour ce genre d’attitude. Je me suis excusée et je lui ai remis sa boite de chocolat. Elle m’a répondu « Ça me touche vraiment. Merci. » et m’a remercié. Quelques minutes plus tard, elle est revenue à mon bureau pour me dire qu’elle n’avait jamais gouté des chocolats aussi bons.

Tout de suite après ces deux rencontres, j’ai senti comme une charge s’enlever de mes épaules. Je me sentais libérée.

Il m’arrive souvent de prier au travail pour des collègues dans le besoin, mais je ne me suis jamais sentie aussi chrétienne qu’en posant ces gestes. La Parole nous mentionne régulièrement de pardonner. Mon passage préféré à ce sujet se retrouve dans 2 Corinthiens 2.10 et surtout 11 :

« Or à qui vous pardonnez, je pardonne aussi ; et si j’ai pardonné quelque chose à quelqu’un, je l’ai fait à cause de vous, en présence de Christ, afin de ne pas laisser à Satan l’avantage sur nous, car nous n’ignorons pas ses intentions. »

Je savais avec mon intelligence que le fait de ne pas pardonner donnait l’avantage à l’ennemi sur moi, mais je ne savais pas comment m’en libérer. Je remercie le pasteur André Jr pour son truc de reconnaitre l’offense et de dire « Je ne vais pas me laisser offenser! ». Cela m’aide tellement! Dieu me transforme encore et par sa grâce, mes manquements me couteront de moins en moins cher en chocolat .

Je prie que ce témoignage permette à plusieurs personnes de se libérer du piège de l’offense.

Stéphanie Dauphin

 

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TÉMOIGNAGE PAR MICHEL ROBILLARD
GUÉRISON LORS DU TQP
7 OCTOBRE 2020

Lors de la retraite de notre séminaire Torrent qui purifie (TQP) le 19 septembre dernier, une intercesseure qui priait de la maison a reçu une vision. Elle a vu Jésus penché vers une personne et qui retirait d’une plaie ouverte comme une tumeur qui ressemblait à un noyau de pêche. Or, une participante qui devait venir était restée auprès de sa mère malade qui devait être opérée et qui ne pouvait pas l’être en raison de la Covid. Les médecins avaient dit qu’elle avait des trous dans les intestins « gros comme des noyaux de pêches » et ils étaient en réflexion pour décider si l’intervention dont elle avait besoin serait encore offerte. Dans l’affirmative, ce serait seulement dans très longtemps. Cette pauvre dame était donc en très mauvaise posture puisqu’elle avait un besoin de plus en plus rapproché de transfusions sanguines : elle était passée d’une transfusion aux deux semaines, à une aux 2-3 jours, et elle en avait eu deux au cours des dernières 24 heures!

Ce n’est pas dans nos habitudes d’avoir des paroles de connaissance pour une personne externe lors d’une retraite TQP. Cependant, lorsque j’ai reçu la parole de l’intercesseure, il me semblait bien que le Seigneur voulait agir pour cette dame, et par là, augmenter la foi des gens du TQP. J’ai donc partagé la parole et nous avons prié tous ensemble pendant quelques minutes pour elle, avec ferveur.

Trois jours plus tard, nous avons eu de ses nouvelles. Elle recevait jusque-là des transfusions sur une base régulière et son hémoglobine oscillait entre 50 avant les transfusions et 80 après (normale 120-140). Or, elle était maintenant à 115! J’ai appris récemment qu’elle était sortie de l’hôpital et qu’elle n’avait reçu aucune transfusion depuis nos prières. En date du 7 octobre, son hémoglobine était à 119.

Quelle belle preuve d’amour de notre Seigneur!

Michel Robillard

 

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TÉMOIGNAGE D’IRIS NTORE
PROVISION DIVINE
7 SEPTEMBRE 2020

Notre famille a déménagé en juillet et nous avions besoin d’un canapé ou d’une causeuse supplémentaire pour meubler notre nouvelle demeure. J’avais aussi le désir d’avoir une chaise berçante pour bercer notre nouveau bébé à naitre. J’ai passé plusieurs heures à en chercher usagé sur Kijiji et Marketplace, pour finir par me décourager car ceux-ci ne rentraient pas dans notre budget et les seuls dont le prix convenait n’étaient pas à notre gout.

En entendant le témoignage d’amis qui ont reçu un frigo après que le leur les ait lâché du jour au lendemain, j’ai été poussée à aller me confier à Dieu pour ce besoin. Cette nuit-là, dans mes prières, j’ai déversé mon cœur devant Dieu en lui disant que j’aimerais vraiment avoir une chaise pour bercer notre futur bébé.

Le lendemain, j’ai eu la surprise de voir un courriel que Christine Marcotte m’avait envoyé deux jours auparavant. Ce courriel a comme « popé » dans ma boite de messagerie le lendemain alors qu’il avait été envoyé deux jours avant. C’était plutôt étrange, puisque que je consulte mes courriels plusieurs fois par jour et que je n’en rate habituellement aucun. Dans son message, Christine mentionnait qu’elle avait en sa possession une causeuse et un fauteuil berçant à donner et qu’elle avait pensé à moi. Elle voulait savoir si j’étais intéressée!!

Wow! Dieu avait répondu à ma prière avant même que je m’adresse à lui pour lui faire part de mon besoin. Non seulement nous avons maintenant une causeuse, mais aussi un fauteuil berçant, et ils sont tous les deux inclinables.

Ce qui m’a énormément touchée, c’est que Dieu a utilisé une personne qui ne nous connaissait pas, et qui connaissait encore moins nos besoins. En effet, j’ai su par la suite que les meubles avaient été entreposés chez Christine par une femme qui déménageait. Elle les avait laissés à Christine dans l’espoir de les vendre. Cependant, après avoir reçu une vision de la part du Seigneur, elle avait senti qu’elle devait plutôt les donner. Dans la vision, elle avait vu une jeune maman en train de bercer son bébé dans le fauteuil… La femme ne le savait pas, mais cette maman, c’était moi!

Le Seigneur est tellement merveilleux dans sa façon de prendre soin de nous! Il est au courant de chacun de nos besoins et il y répond au-delà de ce que nous pouvons imaginer. Je tiens à lui exprimer ma reconnaissance pour ses clins d’œil dans ma vie – merci Papa de prendre soin de moi et de ma famille!

Matthieu 6.8 « Car votre Père sait de quoi vous avez besoin, avant que vous le lui demandiez. »

Iris Ntore

 

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TÉMOIGNAGE ANONYME
TRANSFORMATION ET RESTAURATION D’UN ADO
19 JUILLET 2020

Je veux rendre grâce à Dieu pour ses bienfaits.

Je fréquente l’ÉVA depuis deux ans maintenant, je suis mariée et j’ai quatre enfants. Je suis arrivée à l’ÉVA avec un grand fardeau. Mon ainé était dépendant aux jeux vidéo et cet état de fait avait affecté ses études et détérioré l’atmosphère à la maison. Mon garçon de 13 ans était devenu tellement violent qu’il s’était même fait arrêter plusieurs fois par la police et avait eu plusieurs procès. La vie était devenue impossible.

J’ai crié à Dieu, je l’ai supplié de toutes mes forces. À un moment, je ne savais plus quoi dire ni comment prier. J’avais l’impression de ne pas être entendue par lui tellement l’oppression était forte. Des frères du groupe de croissance m’ont également soutenue. Plusieurs fois au culte, je suis avancée pour recevoir des prières. J’ai également sollicité de l’aide auprès de l’équipe pastorale de l’ÉVA. Un jour au culte, quelqu’un a donné une parole de consolation disant que le Seigneur avait vu mes larmes et que mes couches ne seraient plus remplies de larmes, car il avait pris ma cause entre ses mains. J’ai senti cette parole pénétrer en moi et je savais qu’elle m’était destinée. Dans ma méditation personnelle, j’ai reçu dans mon cœur que je devais me séparer de mon fils. Je devais le conduire chez son grand-père qui est pasteur en Afrique pour un temps que j’ignorais. J’entendais clairement dans mon esprit que le Seigneur voulait nous accorder du repos à mon mari et moi, que mon père serait pour nous un Simon de Cyrène. Le Seigneur me demandait de ne point craindre puisqu’il veillerait sur lui comme un fils. J’ai beaucoup hésité, me demandant si cela venait vraiment de Dieu parce qu’il avait été condamné à 40 h de travaux communautaires et six mois de suivi. J’ai continué à prier, mais c’était plus fort que moi, l’enfant devait partir malgré tout et nous avons pris soin d’avertir son avocate.

Mon garçon est finalement parti en Afrique accompagné de son père. C’était très difficile pour nous et pour lui, car plus de PS4 et plus d’Internet. Il était rendu dans un environnement culturel différent. Il m’appelait chaque jour pour me dire qu’il voulait rentrer, se mettait en colère et voulait tout casser dans la maison de son grand-père comme il avait l’habitude de le faire chez nous quand il était contrarié. Mais, au fur et à mesure, sa colère a diminué et son grand-père l’a initié à la prière et au jeûne. Quand je l’appelais, il regrettait ses actes, nous demandant pardon. C’est comme si les écailles tombaient de ses yeux et qu’il se rendait compte de la souffrance qu’il nous avait infligée. J’ai vu au fur et à mesure mon fils grandir dans la connaissance de Dieu, dans l’amour. Ils se souciait maintenant de ses frères. À l’école, ses notes ont explosé, passant de 60 % pour finir à 93 % à son examen de fin d’année. Sa vie a complètement changé. Souvent, je lui dis des choses qui autrefois le mettaient en colère et grande est ma surprise de constater son calme, sa douceur. Je me demande si c’est mon fils ou une autre personne. Ici à Québec, son avocate a obtenu l’annulation de toutes ses peines.

Je veux rendre grâce à ce surprenant et puissant Dieu qui est l’auteur de toute transformation et restauration. Aujourd’hui, mon garçon a des ambitions et a des intérêts pour la science, ce qui n’était pas le cas auparavant. Notre Dieu défie l’impossible! Je peux rêver pour mon fils. Merci mon Dieu, je t’aime!

Une sœur de l’ÉVA

 

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TÉMOIGNAGE ANONYME
DÉLIVRANCE DE L’ALCOOLISME
4 juin 2020

Sachant qu’il y avait beaucoup de problèmes d’alcoolisme dans ma parenté, pendant l’adolescence et au début de l’âge adulte, j’ai toujours été très vigilante afin de rester sobre. Au début de la trentaine, j’ai cependant développé l’habitude de boire du vin avec mon époux, développant un intérêt toujours grandissant pour le vin rouge. Bien que ma consommation demeurait raisonnable en matière de quantité, elle augmentait graduellement en matière de fréquence. Le plus important fait à souligner est que je puisais ma joie dans cette substance enivrante.

Lors d’une conférence pour les femmes en novembre 2010, le Seigneur, qui connaissait parfaitement le problème que moi-même j’ignorais, est venu à ma rencontre. Alors que j’étais avancée à l’appel, j’ai entendu très clairement le Saint-Esprit me demander d’arrêter complètement de boire de l’alcool. Je savais que c’était lui, car l’appel n’était même pas à ce sujet et je n’étais pas du tout en train de penser à cela. Je n’ai pas aimé sa demande, mais je savais que s’il le demandait, c’était par amour pour moi. Je lui ai donc obéi à contrecœur, par respect pour lui et par crainte de l’Éternel. Le sevrage a été très difficile, voire même souffrant! Même si je ne buvais jamais au point d’être ivre, l’interdiction développa en moi une « obsession de boire ». Pendant trois ans, j’ai crié à Dieu de me délivrer, car je souffrais vraiment intensément. Je n’arrivais plus à aller au restaurant en paix, car je voyais les autres boire, alors que moi je ne pouvais pas. J’avais de la difficulté à traverser l’allée de la SAQ à l’épicerie et même à entrer au dépanneur pour payer mon essence, car j’arrivais face à face avec une étagère remplie de bouteilles de vin. L’obsession de boire grandissait constamment en moi, mais je devais boire aux eaux vives de Dieu pour trouver ma joie et ma consolation au lieu d’aller la chercher dans ce liquide savoureux.

Au bout de trois ans, le Seigneur m’a instantanément délivrée de l’obsession de boire. C’était la 5e session de la conférence GU 2013 à Montréal. Pendant que notre sœur Heidi Baker prêchait, elle s’est brusquement arrêtée au beau milieu de son message, à la 51e minute précisément, et a proclamé avec assurance: « Je déclare la force sur vous, il n’y a plus d’alcoolisme dans le nom de Jésus! » J’ai su instantanément que c’était pour moi. Je l’ai accueilli par la foi et j’ai été totalement délivrée. Les pensées obsessionnelles ont disparu complètement et j’ai continué à m’enivrer du Saint-Esprit, de sa présence et de sa joie à la place du vin.

Cela fera bientôt 10 ans que je suis sobre et j’en suis très reconnaissante au Seigneur! Même si la consommation d’alcool n’est pas mal en soi, elle peut devenir un piège, et ce, même si elle est très raisonnable, car elle crée une habitude et elle risque aisément de prendre la place du Saint-Esprit lorsque nous avons besoin de consolation, de joie, d’apaisement ou simplement de réconfort. Cela a été mon cas, à mon insu. Je ne réalisais pas le problème grandissant, mais le Seigneur le savait! J’avais confondu alcoolisme et ivrognerie. Puisque je ne m’enivrais jamais avec excès, j’ignorais que je pouvais devenir dépendante de l’alcool en consommant de petites quantités seulement, mais c’était effectivement le cas.

Aujourd’hui, lorsque l’ennemi essaie de ramener des pensées de consommation à mon esprit – surtout lorsque je témoigne de ma délivrance – je répète avec conviction la parole prophétique (rhema) qu’Heidi Baker a prononcée : « Je déclare la force sur vous, il n’y a plus d’alcoolisme dans le nom de Jésus! » et la tentation disparait. Merci Seigneur pour la délivrance!

Voici quelques versets clés qui m’ont aidée :

« Ne buvez pas trop de vin : la boisson pousse les gens à se détruire. Mais soyez remplis de l’Esprit Saint. » (Éphésiens 5.18 PDV)

« Prenez avec vous toutes les armes de Dieu, pour pouvoir résister aux pièges de l’esprit du mal. » (Éphésiens 6.11 PDV)

« Non, ce n’est pas contre des êtres humains que nous devons lutter. Mais c’est contre des forces très puissantes qui ont autorité et pouvoir. Nous devons lutter contre les puissances qui dirigent le monde de la nuit, contre les esprits mauvais qui habitent entre le ciel et la terre. » (Éphésiens 6.12 PDV)

« C’est pourquoi prenez toutes les armes de Dieu. Ainsi, dans les mauvais jours, vous pourrez résister, et après avoir bien lutté, vous resterez debout. » (Éphésiens 6.13 PDV)

« Prenez aussi le casque du salut, et l’épée de l’Esprit, qui est la parole de Dieu. » (Éphésiens 6.17 LSG)

Merci Seigneur pour cette épée, c’est-à-dire ce « rhema », qui m’aide à tenir ferme.

Puisse ce témoignage être un tremplin pour la délivrance de tous ceux qui en ont besoin!

Une sœur de l’ÉVA

 

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TÉMOIGNAGE DE NATHALIE MORENCY
GUÉRISON –  TROUBLE OBSESSIONNEL COMPULSIF (TOC)
27 JUIN 2019

Le TOC a débuté très tôt dans ma vie. D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eu des obsessions; à l’âge de trois ans, j’avais déjà des rituels, ce qui impressionnait les psychiatres. Le TOC est caractérisé par des pensées intrusives qui se traduisent par des comportements irrationnels et répétés. Dans mon cas, il a pris plusieurs formes: hypocondrie, répétition de prières comme le « Je vous salue Marie » afin d’expier mes culpabilités excessives et irrationnelles, etc., mais la forme dominante du TOC dont je souffrais était une obsession pour le ménage. J’avais une obsession pour la symétrie et la propreté. Par exemple, tous mes bibelots, mes morceaux de vaisselle, mes vêtements et mes supports devaient avoir la même distance entre chaque. J’y ai littéralement consacré ma vie. À défaut de pouvoir contrôler mes émotions vacillantes et ce qui entrait dans mes pensées, je cherchais inconsciemment à contrôler mon environnement. Lorsque ma maison était propre, j’avais le sentiment d’avoir le contrôle de ma vie en main (ce qui n’était bien sûr qu’une illusion!). Ainsi amalgamée à mon environnement, l’équation est devenue simple pour moi: stress = ménage – je dois reprendre le contrôle de ma vie! Ce qu’une personne faisait en deux heures, ça m’en prenais huit. Dans les pires moments, à 2 h du matin j’étais encore dans le ménage, sans avoir vraiment pris le temps de manger. Je tremblais d’épuisement et je continuais à pousser la note malgré les avertissements que mon corps me lançait désespérément. C’est à l’âge de 28 ans que j’ai été diagnostiquée avec un TOC sévère (entre autres choses). À cette époque, on m’a également diagnostiquée avec des contraintes sévères à l’employabilité et j’en étais réduite à vivre aux crochets de l’aide sociale.

Suivant la prise de la médication qui m’avait été prescrite pour le TOC, les effets secondaires se sont vite fait sentir: prise de poids, honte, fatigue excessive, inhibition de l’effet de satiété, etc. C’était au point où j’ai dû prendre un antidépresseur contre la dépression engendrée par les effets secondaires de l’autre antidépresseur! De fil en aiguille, à 30 ans, je me suis retrouvée à devoir prendre un cocktail de 13 pilules par jour, tout cela pour arriver à garder mes pensées « en paix ».

Un jour, je n’en pouvais plus. Je réalisais que je n’avais plus de vie; je ne vivais pas; je souffrais, point! C’est alors que j’ai crié à Dieu! J’avais déjà invité Dieu dans ma vie, mais là j’ai commencé à le prendre vraiment au sérieux. C’est ce qui a fait la différence. J’ai commencé à jeûner et à obéir à tout ce qu’il me demandait. À certains moments, il y a eu de gros combats dans mes pensées. Ça me disait dans ma tête: « Tu vois, Dieu veut juste te voler le contrôle de ta vie! » (Je sais aujourd’hui d’où venaient ces pensées: de l’ennemi de mon âme, le diable.) J’ai résisté à ces attaques et me suis concentrée sur Dieu. Il n’y a pas eu de moment « punch » où tous mes problèmes ont disparu d’un coup, mais à force de marcher avec Christ et de lui obéir à chaque étape qu’il me montrait, mes chaines ont commencé à tomber. Je suis également allée chercher de l’aide en prière de guérison intérieure auprès de l’équipe ÉVA et ai entrepris toutes sortes de démarches selon la direction du Saint-Esprit. Au fil de tous ces processus, Dieu est venu révéler les origines de mon TOC qui remontaient à des évènements difficiles vécus dans mon enfance. Ce qu’il y a de plus merveilleux avec Dieu, c’est que non seulement il peut identifier la racine des problèmes, mais il fournit en plus des solutions pour que l’on puisse expérimenter des guérisons durables. À force d’octroyer des pardons, de renoncer à des choses, etc., j’ai commencé à expérimenter littéralement des miracles de délivrances, de guérisons, de transformations et de libérations!

Comme je me sentais mieux, en collaboration avec mon médecin et avec un suivi médical serré, nous avons commencé à éliminer tranquillement les médicaments dont je sentais que je n’avais plus besoin. Si bien qu’un beau jour j’étais chez moi et j’ai soudainement eu le gout de réessayer le marché du travail! C’est exactement à ce moment bien précis que j’ai réalisé que Dieu m’avait guérie du TOC! Je n’oublierai jamais ce moment! C’était  comme si j’avais été aveugle toute ma vie et que là Dieu venait de m’ouvrir les yeux! Pour la toute première fois, je « voyais ». Ce fut une expérience très tangible et palpable pour moi de réaliser que le TOC n’avait plus d’emprise sur moi.

Aujourd’hui, des 13 pilules que je devais prendre à chaque jour, il ne m’en reste plus que deux! Je ne prétends pas que ma vie est parfaite, mais je sais une chose, c’est que je vais de progrès en progrès grâce à Dieu qui me dirige, me soutient et prends soin de moi. Après toutes ces années à agir d’une certaine façon à cause du TOC, certains de mes comportements restent à reprogrammer, mais je sais qu’à la base j’ai été délivrée de ce trouble envahissant. Je suis d’ailleurs aujourd’hui sur un programme de réinsertion sociale qui me permet de poursuivre des études en pharmacie. Par la grâce de Dieu, j’obtiendrai mon diplôme en décembre et je pourrai commencer à travailler. De la personne anxieuse, dysfonctionnelle et repliée sur moi-même que j’étais, je suis aujourd’hui pleine de vie, motivée et je me sens utile. Je sais que Dieu continuera son œuvre en moi et l’amènera à perfection, selon ce qu’il a promis dans la Bible:

« C’est pourquoi je suis persuadé qu’après avoir si bien travaillé en vous, le Seigneur achèvera son œuvre. J’ai confiance en lui : il la développera, la complétera et la rendra parfaite pour le jour du retour de Jésus-Christ » (Philippiens 1.6 PVV).

Je rends grâce à mon héros Jésus-Christ pour cette guérison extraordinaire que je n’aurais jamais crue possible au départ – mais rien n’est impossible au TOUT-PUISSANT! Il sait comment restaurer les vies!

Nathalie Morency

 

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TÉMOIGNAGE DE NATHALIE MORENCY
GUÉRISON – CHOLESTÉROL
3 MAI 2019

Depuis près de 25 ans, je prenais un médicament contre le cholestérol. En janvier 2019, une conviction est venue sur mon cœur: j’ai soudain eu la certitude que je n’avais plus besoin de ce médicament. Ce n’était pas un simple désir d’arrêter de le prendre; c’était vraiment comme une révélation qui est venue dans mon esprit à l’effet que j’étais guérie. Comme Dieu a de la suite dans les idées et qu’il fait toujours si bien les choses, cette certitude m’est venue quelques semaines avant mon rendez-vous annuel avec mon médecin de famille. Lors de notre rencontre, je lui ai donc demandé si je pouvais essayer d’arrêter de prendre les statines. (Avec moi, elle commence à avoir l’habitude des arrêts de médicaments – voir mon autre témoignage sur cette page :)). Elle m’a dit « D’accord, tu peux les arrêter, mais je te donne une prescription pour un prélèvement sanguin dans trois mois. Si les résultats ne sont pas à mon gout, je communiquerai avec toi et tu recommenceras à les prendre. » J’étais tout à fait d’accord avec cette proposition et j’ai immédiatement cessé de prendre ce médicament.

Quatre mois plus tard, j’ai eu mon rendez-vous de prélèvement sanguin pour vérifier mon taux de cholestérol et effectuer un bilan lipidique. Une semaine après le prélèvement, je suis venue pour prendre mon téléphone et j’ai vu dans les appels manqués qu’il y avait un message de ma clinique. Je me suis dit « Ah non! Elle m’a dit qu’elle m’appellerait seulement si les résultats n’étaient pas à son gout! » Je me suis hâtée de prendre le message. C’était l’infirmière de mon médecin. Elle disait sur le message: « Nous avons reçu les résultats de vos prélèvements sanguins. Tout est parfait; votre taux de cholestérol est très beau; vous n’avez plus besoin de prendre le Zocor. » Elle a pris la peine de répéter les deux dernières phrases une seconde fois. J’étais tellement remplie d’excitation – c’était WOW!

Je rends vraiment gloire à mon héros Jésus-Christ pour cette guérison extraordinaire!

Nathalie Morency

 

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TÉMOIGNAGE DE LUCIE LAVOIE
JOIE DE VIVRE RETROUVÉE
3 MAI 2019

Dans les dernières années, je me sentais abattue par des circonstances vécues dans ma vie personnelle qui m’ont affectée psychologiquement et physiquement. Je ressentais constamment un vide intérieur et un sentiment de tristesse qui perduraient depuis longtemps. Je me sentais comme prise dans une cage. Je n’avais pas grand motivation non plus au travail. Je continuais d’aller à l’église, mais ma vie spirituelle n’était pas à son meilleur. Je ne prenais plus de temps seule avec Dieu dans sa présence. Je n’arrivais plus à jouer du piano et à chanter comme j’aimais le faire avant dans mes temps personnels avec Dieu. Je ne trouvais aucune raison d’être joyeuse et pensais que j’allais rester pour toujours dans cet état.

Dans les derniers mois, lors d’une rencontre en relation d’aide avec madame Therrien, nous avons prié ensemble pour briser des liens dans ma vie. J’ai pleuré beaucoup. Je voulais un changement dans ma vie. À la fin de la prière elle m’a dit que je ne serais plus jamais la même personne. Je savais intérieurement qu’un changement s’opérait en moi. Dans les jours qui ont suivi, j’ai commencé à ressentir la joie au lieu du sentiment de vide. Je sentais que Dieu me libérais des liens qui m’empêchaient de m’épanouir. Je ressentais une motivation que je n’avais jamais ressentie avant au travail. Je commençais à apprécier la vie et à avoir envie de sortir de ma bulle, de ma cage, pour m’ouvrir aux autres.

Par la suite, lors de la conférence avec James Maloney, j’ai vécu d’autres moments marquants. Premièrement, fait cocasse, j’ai dû m’asseoir dans les premières rangées alors que je préférais habituellement m’asseoir au fin fond de la salle. Étrangement, j’ai constaté que je préférais être assise en avant car j’avais plus de facilité à rester concentrée pendant la louange ou le message. (C’est devenu ma place préférée, mais pas pour ma fille – on se chicane parfois pour les choix des places, en arrière ou en avant!) Ça faisait tellement longtemps que je n’avais pas ressenti la présence de Dieu, mais là dans la louange, j’ai ressenti la présence de Dieu à nouveau. Ce fut ainsi pendant toute la fin de semaine. Je fermais mes yeux pendant les temps de louange pour écouter attentivement les paroles des chants. Je les avais déjà entendues auparavant mais là ces paroles me touchaient profondément, comme si c’était la première fois que je les entendais. Pendant cette fin de semaine, j’ai réalisé que je suis vraiment une enfant de Dieu, que j’ai de la valeur. Même si on me l’avait déjà dit plein de fois, là je le réalisais. Pendant la louange, j’ai vu l’image de Jésus qui se tenait devant moi et je courais vers lui pour lui faire un câlin. C’était pour moi une image qui signifiait beaucoup.

Toujours le samedi lors de la conférence, alors qu’on chantait la chanson « Je m’abandonne », j’ai senti que je devais absolument m’agenouiller. Je me suis mise à genou devant ma chaise et alors que les gens louaient Dieu ou parlaient en langues, moi aussi j’ai commencé à parler en langues. Comme d’habitude, j’ai commencé très discrètement, mais pas pour longtemps car je n’ai pas pu retenir ma voix et je me suis mise à parler en langues fort, sans gêne. Je ne pouvais pas me retenir; ça sortait tout seul. Le samedi soir j’ai passé dans la file pour la prière de délivrance. Je n’ai rien senti mais je crois que Dieu a agi. Puis, lors de la réunion du dimanche après-midi, après être passée moi aussi dans la file pour l’imposition des mains pour le don de foi, je suis retournée m’asseoir à ma place paisiblement. Je me sentais tellement en paix et joyeuse. J’étais déçue que la conférence soit terminée. Je me sentais bizarre. Je regardais les gens dans la salle et je me disais intérieurement « Mon doux que j’aime mon église! » Je me sentais tellement bien et remplie de l’amour de Dieu que j’avais envie de faire un câlin à quelqu’un. J’ai donc cherché du regard quelqu’un que je connaissais pour ne pas avoir l’air trop bizarre et j’ai vu Bertha. Je me suis dirigée vers elle pour lui faire un câlin et lui dire à quel point je me sentais bien, en paix, joyeuse, etc. C’est alors que je me suis mise à crier en poussant un cri incontrôlable. Je me suis retrouvée couchée par terre en criant de plus en plus fort sans aucun contrôle. Je me disais dans ma tête, « Tout le monde doit me regarder, qu’est-ce qu’ils vont penser? » et je m’excusais auprès des gens qui m’entouraient parce que ce n’est pas du tout mon genre d’attirer l’attention. Toutefois, ce cri incontrôlable devait sortir; je ne pouvais le retenir. Il faisait partie du processus de libération. C’était comme s’il voulait dire « Enfin Libre! »

Dans la semaine suivante, je n’arrêtais pas de chanter. C’est comme si j’ai été reconnectée avec la présence de Dieu, ne voulant jamais plus en être privée. Dans cette même semaine, j’étais en congé alors j’écoutais constamment de la louange et je chantais, surtout le refrain de la chanson « Je m’abandonne », car c’était pour moi un désir sincère, et une autre chanson qui dit « je suis enfant de Dieu », car les paroles m’avaient profondément touchée. Alors que je prenais chez moi un temps de louange au piano, j’ai revu l’image de Jésus que je serrais dans mes bras, mais cette fois-ci il me couvrait de son manteau. Je me sentais protégée, à l’abri et aimée. Je garde cette image dans ma tête; elle me rappelle que je suis enfant de Dieu, qu’il m’aime et qu’il prend soin de moi.

Lucie Lavoie
PS: J’aime tellement mon église!!!

 

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TÉMOIGNAGE DE NANCY RATTÉ
JAMBE RALLONGÉE
18 AVRIL 2019

Jusqu’à tout récemment, je faisais partie de ces nombreuses personnes qui ont une jambe plus courte que l’autre. La différence d’un demi-pouce m’occasionnait des désagréments depuis plusieurs années, entre autres des maux de dos avec lesquels je devais composer régulièrement.

En avril, je me suis inscrite à la conférence « Parce qu’il y a plus » avec James Maloney. J’y ai vécu de très bons moments de ressourcement en priant moi-même pour trois personnes qui ont senti des améliorations importantes à leur condition suite à mes prières (bas du dos, nerf sciatique et rein). Le samedi après-midi (6 avril), un frère est venu prier pour ma jambe dans le corridor près des vestiaires. Il a constaté en alignant mes deux jambes qu’une était plus courte d’un demi- pouce, ce que je savais déjà. Suite à sa prière, nous avons vu la jambe rallonger instantanément! Il y avait aussi un autre témoin qui a vu la chose se produire. C’était vraiment spécial! Depuis lors, ma démarche a changé. Ça me fait drôle quand je marche, car je ne suis pas habituée à cette démarche différente, mais je me sens mieux physiquement. Vendredi dernier, j’ai fait du bénévolat pour Moisson Québec. Je suis restée trois heures debout et je n’ai eu aucune douleur! Habituellement, j’avais des douleurs en restant longtemps debout. Je remercie le Seigneur pour ce miracle qui m’a aidée à me rapprocher encore plus de lui!

Nancy Ratté

 

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TÉMOIGNAGE DE JEAN-PHILIPPE AGBANTEY
DÉLIVRANCE DE MIGRAINE
12 AVRIL 2019

Il y’a de cela un ou deux mois, j’avais fait un rêve dans lequel j’avais de la migraine. Dans le rêve, un ami est venu prier pour moi. Curieusement, il n’a pas prié que je sois guéri de la migraine, mais il a pris autorité et chassé la migraine, car selon lui ce n’était pas une migraine due à la fatigue, mais c’était une attaque de l’ennemi dans le but de me ralentir dans mes tâches.

À mon réveil, je me suis levé avec une forte migraine. (Avant de me coucher la veille je n’en avais pas du tout.) J’ai alors contacté mon ami en question afin qu’il puisse prier pour moi, ce qu’il fit. Après sa prière, la migraine a baissé, mais je suis resté avec des migraines sporadiques au fil des semaines.

Avant d’arriver à la session du samedi soir de la conférence (6 avril 2019), la migraine avait repris. Au cours de la session, le frère James a fait un appel pour la délivrance (esprit d’infirmité). Je me suis avancé. Il m’a imposé les mains et a déclaré « Be loosed! » (Sois libéré!). Avant même que je revienne m’asseoir sur ma chaise, j’ai constaté que je n’avais plus de migraine. Et je peux vous attester qu’elle est vraiment partie pour de bon parce que je n’en ai plus eu du tout jusqu’aujourd’hui!

Je rends grâce à Dieu d’avoir révélé l’origine de ce mal et de m’en avoir délivré. Gloire à Jésus!

Jean-Philippe Agbantey

 

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TÉMOIGNAGE DE LYNE CORMIER
VISITATION DU SEIGNEUR
8 AVRIL 2019

Lundi vers 4 h du matin, le Seigneur est venu me visiter pendant mon sommeil. Je dormais mais en même temps j’étais consciente. C’est difficile à expliquer avec des mots. J’étais devant le choix de me laisser toucher par cette présence, mais je me demandais si c’était le Seigneur ou l’ennemi! J’ai réalisé que c’était une visitation du Seigneur. Je lui ai permis de m’envahir. Je me suis sentie en transe sans vraiment pouvoir parler ni entendre sa voix, mais je savais que c’était lui. Je me suis mise à respirer profondément et j’ai été transportée dans un état de paix immense! La seule chose que j’entendais était l’air d’un chant. Je ne connais pas le titre du chant mais les seuls mots dont je me rappelle sont « … d’une brise légère… »

Bref… C’est plaisant de se faire réveiller la nuit quand c’est le Seigneur qui nous envahit!
J’ai encore des douleurs dans mon corps, mais la visitation que j’ai eue du Seigneur m’affermit davantage dans mon identité en Christ. Je suis remplie de paix!

Lyne Cormier